Bulgarie (Bulgaria)

Bulgaria flagL’étiquette en affaires – L’attitude envers les étrangers

En général les Bulgares sont très hospitaliers, amicaux et serviables, quoiqu’au début ils semblent plus sérieux que la plupart des Européens. Beaucoup d’eux parlent des langues étrangères et apprécient les visiteurs étrangers ; ils sont donc une compagnie bien agréable. Les Bulgares acceptent également des étrangers en tant que partenaires d’affaires, car ils les jugent expérimentés et dignes de confiance.

Plus de 50 % des Bulgares trouvent que le nombre d’immigrants de Bulgarie est assez bas, ne représentant donc pas une menace pour leurs emplois. Pourtant, il y a des soucis majeurs que les immigrants concourront pour des emplois, contribuant, probablement, à l’escalade des infractions et chargeant le système d’assurances sociales. L’impact des immigrants sur la culture nationale n’est pas considéré comme une menace pour la société bulgare, les Bulgares tenant à garder leurs coutumes et traditions. Les Bulgares ont de hauts niveaux de tolérance envers les Manouches, les homosexuels et les immigrants dans une mesure plus restreinte. Mais la majorité des Bulgares pensent que l’immigration a des impacts tant positifs que négatifs sur le pays.

L’enseignement et la formation

L’enseignement général

La population bulgare est bien éduquée, approximativement 80 % de ceux à l’âge de travailler ayant des études secondaires ou supérieures. En Bulgarie le système d’enseignement a deux étapes principales : l’enseignement du premier degré et l’enseignement du second degré. Les enfants rejoignent d’habitude le système d’enseignement à l’âge de 7 ans et après l’achèvement de l’enseignement du premier degré ils choisissent un lycée de l’un des trois types : global, à profils (langues étrangères et sciences exactes) ou professionnel (des écoles techniques). D’ordinaire, l’étendue d’un lycée est de 4 ou 5 années, en fonction du type d’école.

Il y a plus de 200.000 étudiants qui suivent des universités, ainsi que de grandes écoles spécialisées d’État ou privées. Selon la tendance générale de l’UE, le plus d’étudiants s’orientent vers l’administration des affaires et les relations publiques, suivies par l’industrie et les constructions, ensuite par les sciences humanistes, les arts et la médicine.

En Bulgarie le système d’enseignement s’ouvre vers le monde et vers les nécessités d’une économie basée sur les connaissances. L’apprentissage des langues étrangères est introduit dès le plus tendre âge dans les écoles maternelles et les écoles. De plus, la plupart des établissements d’enseignement ont de bonnes facilités liées aux ordinateurs et des connexions à l’Internet à haut débit. Le personnel universitaire s’enrichit tout le temps par de jeunes spécialistes qui ont étudié à l’étranger. Les universités bulgares s’ouvrent vers les étudiants étrangers. Les cours enseignés en anglais sont introduits dans bien des universités.

Ceux qui veulent étudier en Bulgarie ou y inscrire leurs enfants doivent prendre contact avec les ambassades ou les bureaux consulaires afférents de leur pays natal, ou bien avec le Ministère Bulgare de l’Enseignement, de la Science et de la Jeunesse.

L’insertion des étudiants

En Bulgarie les insertions ou les stages sont une partie obligatoire de l’enseignement universitaire et même s’il n’y a pas de base de données centrale pour les placements, la plupart des étudiants réussissent à s’insérer tous seuls. Les universités et les écoles techniques spécialisées collaborent avec d’entreprises locales pour aider les étudiants à acquérir des compétences spécifiques importantes pour leur future profession. Certaines occasions d’insertion pour étudiants sont facilitées par les centres de carrière au sein des universités, alors que d’autres en sont offertes par les ministères bulgares et les gouvernements locaux.

En Bulgarie les placements pour les étudiants peuvent également être téléchargés par les entreprises sur le portal Europe Internship (Les stages en Europe). La majorité des universités bulgares offrent des insertions pour les étudiants étrangers en vertu du Programme LLP Erasmus, qui aide les placements des étudiants compris entre 3 et 12 mois dans des établissements commerciaux et des centres de recherche d’Europe.

Des informations sur les opportunités d’emploi, on peut en obtenir auprès de l’Agence Nationale d’Emploi, qui offre des postes vacants temporaires ou saisonniers susceptibles d’éveiller l’intérêt des étudiants. AISEC Bulgaria offre aussi des opportunités de stages.

Le salaire

En Bulgarie les salaires sont plus bas par rapport à ceux dans d’autres États membres de l’UE. En Bulgarie, le salaire mensuel moyen net (après la déduction des impôts) est à hauteur de 700,00 levs ou approximativement 350 €. Toutefois, la gamme des salaires mensuels est comprise entre 1.000 € et 2.500 € au niveau de la direction exécutive jus-qu’à 200-550 € pour une secrétaire, un teinturier ou un décorateur. Le salaire est négocié entre l’entreprise et l’employé et il y a des entreprises qui déroulent des stages impayés.

Le logement

En Bulgarie la plupart des établissements d’enseignement supérieur ont leurs propres locaux de logement pour les étudiants pendant la durée de leurs études. Les étudiants étrangers qui étudient en Bulgarie en vertu d’un accord bilatéral ou d’un ordre venu de la part d’un organisme bulgare sont normalement en droit de jouir de logement dans ces locaux. Néanmoins, les étudiants étrangers qui paient leurs frais de scolarisation ne reçoivent de logement dans ces locaux que s’il y a des chambres / des lits vacants. Les coûts diffèrent de l’université à l’université, allant de 30 € à 50 € par mois.

Si les conditions des locaux de logement ne s’élèvent pas au niveau d’attente d’un étudiant, ce dernier peut louer un appartement privé ou une chambre pour 150-350 € par mois. Des informations détaillées sur le logement des étudiants sont offertes en anglais sur les sites Internet des universités et des écoles supérieures spécialisées.

Dans la capitale il y a toute une variété de moyens de transport en public, tels que des bus, des trolley-bus, des trams et du métro. Un titre de trabsport coûte 1 lev (0,50 euros), mais les titres en peuvent être achetés en lots de 5 ou 10 pour 4,50 et, respectivement, 8 lev.

Les titres de transport pour les déplacements en bus, trolley-bus ou tram sont tous les mêmes et peuvent être achetés auprès des kiosques situés près des stations de bus ou auprès du conducteur auto – là où il n’y a pas de kiosque.

Pour un supplément d’informations sur les titres de transports effectifs et les cartes électroniques :

Les visas

Les détenteurs de visas Schengen valables peuvent entrer en Bulgarie et y rester 90 jours tout au plus pendant n’importe quelle période de 6 mois. Dans le cas des résidents des États membres de l’UE ou des ÉUA il n’est pas nécessaire d’avoir de visa pour les visites de maximum 90 jours. Des informations détaillées, on peut en obtenir auprès du site Internet du Ministère Bulgare des Affaires Étrangéres. En fonction de leur nationalité, les étudiants auront besoin d’un titre de résidence et des informations séparées sur chaque pays.

Les visas ne seront accordés qu’aux détenteurs de passeports ou de titres de déplacement en règle ayant une validité d’au moins 3 mois après leur séjour planifié et une page blanche pour l’application du visa.

Lorsqu’un étranger rejoigne la Bulgarie, il est censé déclarer par écrit la raison de son séjour là-bas et l’adresse où il habitera, à moins qu’il ne soit pas citoyen de l’Union Européenne ou d’un pays de l’Espace Économique Européen.

La loi bulgare sur les citoyens étrangers accorde de l’accès à trois catégories essentielles de visas : le visa de transit, le visa à court séjour et le visa à long séjour. Les citoyens étrangers ne peuvent travailler dans ce pays qu’après avoir obtenu un permis de travail – à défaut d’autres stipulations dans la législation. Les permis de travail sont délivrés pour une période maximale renouvelable d’une année, en vertu d’un contrat d’embauchage existant ou d’un accord avec une entreprise locale et lorsqu’il y a des conditions légales qui doivent être remplies. Une requise obligatoire pour l’obtention d’un permis de travail est que les citoyens aient un visa à longue portée. Les citoyens étrangers ayant des visas à court terme ne peuvent recevoir de permis de travail en Bulgarie. C’est à leurs employeurs locaux que les étrangers doivent solliciter des permis de travail, qio sont par la suite délivrés par l’Agence Bulgare d’Emploi.

Les citoyens de l’UE n’ont pas besoin de visas ou de permis pour voyager ou travailler en Bulgarie.

Le coût de la vie

Une analyse comparative décrit la Bulgarie comme relativement bonne-marché et comme un endroit où l’on peut se permettre vivre beaucoup davantage, en comparaison avec la plupart des pays de l’Union Européenne. Néanmoins, les prix de certains aliments de base et de l’électricité haussent constamment, ce qui affecte le coût de la vie. Les prix ont tendance à varier en fonction des communes, la vie dans les grandes villes étant plus chère. Le coût de la vie comprend les coûts du logement, de même que les dépenses jounalières, telles que la nourriture, le transport, les loisirs en dehors de sa maison … Le montant le plus grand que les étudiants doivent payer est d’habitude le loyer. En général, les prix du louage d’un appartement s’étendent entre 250 € à 600 € par mois dans la capitale, en fonction de la grandeur et de l’emplacement. Au total, les coûts de la vie mensuels sont compris entre 520 € et 900 €.

La communication en affaires

L’établissement du contact

La Bulgarie est une société passablent formelle, ce qui signifie que les saluts initiaux sont toujours officieux. Lorsqu’on fait la connaissance de quelqu’un il faut serrer la main fermement, maintenir le contact visuel et moduler son salut en fonction du moment de la journée. Il convient de s’adresser aux gens utilisant leurs titres (s’ils sont connus) ou disant “M. Gospodin” / “Mme Gospozha” avec le nom de famille. Ce ne sont que les amis et les membres de la famille qui s’appellent par leurs prénoms et qui s’embrassent ou se font un petit baiser en public. Un petit baiser sur chaque joue est le salut habituel entre les femmes qui se connaissent l’une l’autre. Quant aux membres du sexe opposé et aux collè-gues de travail, il convient de garder un espace modéré pendant les conversations, pour-tant entre amis et les membres de la famille le besoin d’espace personnel est restreint.

Face à face

Les Bulgares aiment faire des affaires face à face ; il est donc important de rendre visite personnellement à ses partenaires locaux et clients, afin de se connaître véritablement et de forger une relation durable. Si la communication se limite à des e-mails ou à des télécopies, cela ne fera pas de bonne impression et n’aura pas l’effet attendu.

Beaucoup de Bulgares sont directs, mais il est important de faire attention aux signes de communication non verbaux et parfois de poser la même question plusieurs fois afin de voir si la réponse change.

Les Bulgares font un tas de gestes pendant qu’ils parlent et montrent clairement leurs sentiments par des expressions faciales. Veuillez noter que les Bulgares ont différents gestes de la tête pour indiquer le “oui” et le “non” à d’autres cultures : un secouement de la tête d’un côté à l’autre signifie “oui” et le mouvement de haut en bas signifie “non”. La majorité des Bulgares maintiennent du contact visuel lorsqu’ils parlent, ce qui dénote de la sincérité, de l’amitié et du respect. D’habitude les Bulgares se tiennent l’un à côté de l’autre à distance d’un bras lorsqu’ils parlent entre eux.

L’étiquette en affaires – Les rencontres d’affaires

L’attitude envers les rencontres d’affaires

Les Bulgares traitent les rencontres d’affaires de manière formelle et montrent du respect lorsqu’ils adhèrent aux protocoles formels et aux standards conservatifs en matière d’habillement. Attention à ne pas sous-estimer la façon directe des Bulgares. Même s’ils sont plus réservés dans les situations d’affaires, ils sont bien directs, clairs et explicites. Pendant une rencontre on peut utiliser de l’humour aussi, comme une bonne méthode de briser la glace. Soyez prêts pour de longues rencontres d’affaires : il arrive souvent que les séances durent plus longtemps que le temps alloué ; il faudra alors avoir en vue beaucoup de temps supplémentaire. La patience et les relations amicables sont cruciales lorsqu’on fait des affaires en Bulgarie.

Il est important de prendre rendez-vous à l’avance et d’éviter les principales périodes de congé. D’habitude pour l’organisation des rencontres il faut mettre assez de temps, en fonction du degré supérieur de la personne qu’on veut voir. Les rencontres d’affaires sont ordinairement planifiées deux ou trois semaines en avance, par téléphone. La toute première rencontre avec un associé bulgare est normalement aux fins de présentation, aucune décision n’y étant donc prise. En général, les Bulgares ne se dépêchent pas lorsqu’ils doivent prendre des décisions importantes.

Après une rencontre il faut montrer qu’il y a de l’intérêt et le désir que la relation réussisse. Les séances virtuelles sont jugées un faible substitut des rencontres personnelles ; on n’y fait donc appel que s’il est vraiment nécessaire ou s’il faut compléter les visites personnes habituelles nécessaires pour maintenir le niveau de confiance et de compréhension. En Bulgarie les affaires meuvent lentement et les transactions d’affaires et une communication claire nécessitent des documentations détaillées. Cela va de même également lorsqu’on a affaire au gouvernement bulgare, car il est possible que les transactions d’affaires soient ralenties par la bureaucratie.

Les négociations

Lorsqu’on parle aux Bulgares il faut tenir compte que les négociations ont lieu en général avec le directeur. Ce dernier peut recevoir des suggestions ou des conseils de la part des employés, des équipes ou des groupes de conseil, mais c’est lui qui prendra la décision finale.

Les Bulgares ont des aptitudes de négociation très flexibles et exprimeront des commentaires personnels et des informations dans une grande ou petite mesure. Ils n’aiment pas les questions ultra personnelles sur leurs propres études ou amis ; en échange, ils aborderont vite des sujets portant sur la politique, la culture ou la société. Dans une situation d’affaires les individus seront beaucoup plus sérieux et prudents sur ce qu’ils sont dispos à divulguer. Lorsque les négociations commencent, les Bulgares sont enclins à aller directement dans le sujet et discuter ouvertement les questions essentielles. Après l’achèvement des affaires les Bulgares resteront à la table des négociations pour boire du café ou du thé avec vous et commenceront à faire des blagues ou à vous demander ce que vous pensez sur leur pays. Ils vous feront des recommandations sur les endroits où il vaut bien se rendre, quoi essayer de la cuisine bulgare et il se peut qu’ils vous invitent même au dîner.

Le dressement de contrats est une partie très importante du processus d’affaires, parce qu’un contrat sert à mettre sur papier les accords, stipule ce que les participants individuels ont convenu, garantit que l’accord sera respecté et indique quelles actions correctives s’imposent. Si l’une des parties du contrat est dédiée aux pénalités incombées pour le défaut de respecter les délais ou les points de référence, les Bulgares y feront grande attention et la prendront très au sérieux. Pour en arriver à de la confiance réciproque et à des relations personnelles en affaires il faudra mettre quelques années de coopération, pourtant même à ce moment-là il est recommandable d’avoir un contrat écrit. Parfois les Bulgares acceptent des accords verbaux comme des obligations contractuelles, mais cela n’est pas une pratique répandue ; on n’en rencontre donc pas dans les relations d’affaires sérieuses.

Les Bulgares aiment encore mélanger les affaires aux plaisirs, en sorte que les négociations seront accompagnées de longues nuits dans des pubs locaux traditionnels, où l’on mangera et boira beaucoup. Le but des négociations n’est pas seulement d’en arriver à un accord, mais aussi de faire le visiteur se sentir bienvenu et aimer sa visite.

Parmi les plats traditionnels pour la région balkanique il y a : Shopska Salad – qu’est la salade la plus connue, un mélange de tomates, concombres, poivrons frais et de fromage blanc bulgare ; kavarma – un ragoût épicé préparé dans un bol en terre cuite ; banitsa – une pâte en couches avec un mélange d’œufs fouettés et de morceaux de fromage blanc ; tarator – une soupe froide à concombres, yaourt, ail, noix, fenouil et huile végétale. Parmi d’autres plats traditionnels il y a le mousaka, shkembe chorba et des haricots cuits. La combinaison de ragoût de viande, légumes et épices est tout à fait typique pour la cuisine bulgare.

Faites attention aux aspects ci-après :

Les décisions concernant les affaires sont souvent influencées par les attitudes personnelles ; il est donc utile de créer et de maintenir de bonnes relations avec vos partenaires.

NE sous-estimez PAS l’approche directe des Bulgares : malgré leur réputation réservée, lorsqu’il s’agit des situations d’affaires la communication est plus directe et succinte.

Les horaires de travail

Une semaine de travail typique a 8 heures par jour, 5 jours par semaine, à partir de 8h00 ou 9h00. Dans certains cas il se peut que les employeurs demandent aux employés de faire des heures supplémentaires dans certains jours, jusqu’à 10 heures par jour au maximum. Ces heures supplémentaires peuvent être compensées par du temps libre accordé aux employés dans d’autres jours. En Bulgarie les employeurs et les employés ont également la liberté de négocier les conditions des contrats de travail dans le sens de permettre du travail à temps partiel, en relèves et d’autres arrangements contractuels, dans les limites de la loi.

Là où les employés travaillent sur un contrat à relève de nuit, la durée de la semaine de travail normale est limitée à 35 heures ou à 7 heures pour chaque relève. Une relève de nuit est définie comme du travail effectué entre 22h00 et 6h00 dans le cas des mineurs ayant l’âge inférieur à 18 ans et entre 20h00 et 6h00 pour les employés.

Pendant les horaires de travail normaux, les employés ont le droit à une ou plusieurs périodes de repos, qui ne sont pas incluses dans les heures de travail, et à des pauses pour manger, qui ne sauraient être plus courtes de 30 minutes.

Les Bulgares ont le choix de travailler pendant les jours fériés (par ex. Noël ou Pâques) s’ils trouvent que cela leur apporte des bénéfices.

Les banques et les bureaux qui travaillent avec des clients sont en général ouverts de 9h00 à 17h00, alors que certains bureaux ont des heures d’ouverture plus longues, entre 10h00 et 22h00. La plupart des magasins sont ouverts entre 9h00 et 20h00 et beaucoup d’eux restent ouverts 24 heures sur 24.

L’utilisation des médias de socialisation spécifiques au pays

À titre estimatif, 2,5 millions de Bulgares ou à peu près 74,5 % de tous les utilisateurs d’Internet ont des comptes de Facebook et leur nombre s’accroît constamment à travers les Balkans. Plus de 21 % des Bulgares emploient Youtube, 14,3 % Google+, 7,9 % Twitter et 5 % LinkedIn.

Il y a aussi plusieurs réseaux de socialisation imitatifs et des sites Internet à liens favoris, qui vous permettent de vous tenir au courant de ce qui se passe dans le pays, comme par exemple les événements à venir, les nouvelles importantes etc.

Les grands sites Internet suivants à liens favoris valent la peine d’être feuilletés :

Svejo.net (“Svejo” signifiant “tout nouveau”) : À travers Svejo.net on peut partager des sites Internet, des films vidéo, des textes et des images. Si le texte que vous partagez est nouveau et intéressant, il devient tout de suite TOUT NOUVEAU et il est promu sur la page d’accueil de Svejo.net, qui apporte du trafic à votre blog ou profil du réseau de socialisation.

Lubimi.com (“préféré” – en français) est un réseau social adéquat pour la publication d’articles venant de divers blogs des entreprises. Lubimi permet que les liens partagés soient suivis par des moteurs de recherche ; il est donc utile pour l’amélioration des moteurs de recherche.

Ping.bg Ping.bg est le réseau à liens favoris le plus nouveau de Bulgarie. Bien qu’il ressemble aux deux réseaux décrits avant, il a quelques caractéristiques et options tout à fait nouvelles, mais il est encore trop nouveau pour avoir de l’influence mesurable sur les gens.

Qko.be, 2p2.us, Favi.info, Slamka.com sont des réseaux similaires à Twitter, où les utilisateurs partagent des mises à jour succints sur ce qu’ils sont en train de faire en ce moment-là.

Parmi les réseaux à orientation plus sociale il y a Twist.bg, qui permet aux utilisateurs de partager des liens, des nouvelles, des films vidéo et des listes d’événements, et Idi.bg (“idi” signifiant “aller” en français), qui est le réseau social bulgare pour le tourisme.

En Bulgarie il y a un grand nombre de gens qui utilisent le réseau social professionnel LinkedIn, qu’ils voient comme une bonne occasion de se promouvoir et de chercher de meilleurs emplois.

Vbox7 est la variante bulgare de YouTube, qui offre beaucoup d’opportunités commerciales, étant donc très bien employé tant par les personnes morales que par les particuliers.

Foursquare a attiré en Bulgarie un grand nombre de clients du domaine des affaires et tend à devenir un instrument de marketing à grand succès pour les entreprises du domaine commercial et d’amusement. Par exemple, l’une des banques bulgares de marque, First Investment Bank, offre d’excellentes informations sur ce réseau. Plesio, un détaillant de premier plan en ordinateurs, offre des rabais aux clients qui entrent régulièrement sur Foursquare. Il y a également bien des restaurants et des magasins qui y sont bien représentés.