La Belgique (Belgium)

Belgium-flag-240 L’étiquette en affaires – Attitudes et valeurs

L’attitude envers les étrangers

Quoiqu’il y ait des différences comportementales visibles entre les individus et, dans une certaine mesure, entre les communautés, les Flamands montrent souvent plus de conscience de soi que les Wallons.

Les gens sont axés sur les résultats et sont bien travailleurs, à condition que l’employeur respecte les règles. Il est possible de se créer une relation chaleureuse avec un Belge, peut-être davantage avec un Flamand qu’avec un Wallon, mais cela nécessite du temps.

À l’exception de ceux contraints d’être toujours en mouvement, les Belges sont en général très amicaux et polis. Les symboles des statuts signifient très peu pour la plupart d’eux, bien qu’ils aspirent en général à deux choses : leur propre maison (d’ordinaire une maison dans la banlieue lointaine) et une bonne auto.

L’enseignement, la formation et l’insertion

L’enseignement général

Les standards éducatifs belges sont en général très hauts dans toutes les parties du pays, l’enseignement universitaire tombant à la charge des communautés française et flamande. Sur les plus grandes universités belges, deux en sont des institutions gouvernementales : L’Université de Liège – à enseignement en français – et Universiteit Gent – en allemand.

Le reste des quatre universités majeures sont privées, mais elles jouissent de subventions importantes. En 1970 l’Université Catholique de Louvain, fondée en 1425, a été séparée en deux. L’Université Catholique de Louvain – à enseignement en français, qui a approximativement 17.000 étudiants, se trouve dans la ville de Louvain-la-Neuve, alors que Katholieke Universiteit Leuven – en allemand, de la ville flamande de Leuven, a environ 22.500 étudiants. L’Université de Bruxelles, fondée en 1834 selon le principe du libre examen, s’est également séparée en deux début printemps 1970 : l’Université Libre de Bruxelles – en français, avec près de 12.500 étudiants, et Vrije Universiteit Brussel – en néerlandais, avec approximativement 6.000 étudiants.

Il y a également une série d’autres universités, de même que des écoles professionnelles et techniques de niveau universitaire, ainsi que des académies d’art et de musique, qui offrent des études supérieures, non universitaires, plus des écoles internationales de gestion des affaires.

Les diplômes sont définis par la loi et sont les suivants :

La candidature/Kandidatuur : Le premier cycle d’études est achevé par la réussite à environ 10 examens recouvrant 380 heures de cours et séminaires à la fin de chaque année. La candidature n’est pas un diplôme final, car elle représente deux années d’études (ou trois dans les cas de la médecine et de la médecine vétérinaire).

La licence (La maîtrise)/Licentiaat : le second cycle d’études universitaires et le diplôme universitaire fondamental en Belgique, qui requiert, en premier lieu, l’achèvement réussi de la “candidature / kandidatuur” ou de son équivalent et, en second lieu, la réussite à environ 10 exa-mens à la fin de chaque année recouvrant environ 380 heures de cours et de séminaires. Durée : deux années dans la plupart des branches (ou trois pour la stomatologie, le droit, la psychologie, l’ingénierie et la médecine vétérinaire ; quatre pour la médicine).

Le doctorat/Doctoraat : représente trois ou quatre années supplémentaires de recherche et la soutenance d’une thèse. D’autres programmes du troisième cycle, comme La licence spéciale/ bijzondere licentie peuvent durer une ou deux années.

L’agrégation/Aggregatie : représente au moins trois années après le doctorat et la soutenance d’une thèse plus importante.

En Belgique, les qualifications universitaires sont essentielles dans bien des secteurs des affaires et sont prises très au sérieux, établissant plus ou moins “l’ordre hiérarchique” dans certaines disciplines.

La plupart des jeunes Belges connaissent bien les deux langues (notamment dans la communauté flamande) et s’y connaissent à l’ordinateur.

L’insertion des étudiants

En Belgique la recherche d’une insertion de travail n’est pas si facile. Dans bien des cas il faut de la persévérance et de l’initiative, car les placements sont moins communs que dans d’autres pays, comme l’Allemagne. La capitale, Bruxelles, en est une exception, car la Commission Européenne, par ex., offre une tas de possibilités.

En Belgique il y a trois langues officielles : le néerlandais, le français et l’allemand. Par conséquent, les requises en matière de langue changeront en fonction de l’emplacement. Pourtant, dans certaines situations, l’anglais tout seul sera suffisant.

Le salaire

Les stages étant assez rares en Belgique, la probabilité qu’on soit inséré sans rémunération est très grande. Les exceptions en sont, par ex., les placements au sein de la Commission Européenne, qui sont payés dans la majorité des cas.

Le logement

Si l’on se rend en Belgique pour s’y insérer sur le marché du travail, il faudra se procurer tout seul du logement. Si à Bruxelles les loyers sont assez considérables, dans les régions plus rurales ils sont meilleur-marché, mais c’est plus difficile d’y trouver des places.

Les visas

En fonction du pays dont on vient il est possible d’avoir besoin du visa avant de pouvoir travailler en Belgique. Pour plus d’informations veuillez consulter https://dofi.ibz.be.

À l’exception des citoyens d’Islande, de Monaco, de la Norvège, de Liechtenstein et de Suisse, tous les citoyens des États qui ne sont pas membres de l’UE ayant l’intention de dépasser un séjour de 3 mois en Belgique auront besoin du visa (Schengen, du type D). Un étranger qui se rend en Belgique avec l’intention d’y travailler a besoin d’un titre de voyage (un passeport) avec une validité d’au moins une année, d’un certificat de bonnes vie et mœurs valable pour les derniers cinq ans, d’un certificat médical délivré par un médecin agréé par l’Ambassade et d’une autorisation de travail. Dès que le visa est délivré et que l’étranger arrive en Belgique, il doit le faire savoir à l’administration municipale, donnant des détails sur sa destination à l’effet d’officialiser son séjour.

Afin de pouvoir travailler en Belgique, les étrangers doivent être munis d’un permis de travail valable. Cette condition ne s’applique pas dans le cas des citoyens des États membres de l’Espace Économique Européen (tels que les États membres de l’UE plus l’Islande, la Norvège et Liechtenstein) ou pour cetaines catégories de travailleurs.

Il convient de faire une distinction entre deux types de permis de travail. Les permis de travail du type A sont valables pour toutes sortes d’emplois rémunérés et ont une validité indéterminée ; il n’y a qu’un nombre limité de demandeurs qui remplissent les conditions pour ce type de permis (par ex. ceux qui ont un permis de travail B et travaillent en Belgique depuis plus de quatre ans, les demandeurs qui habitent légalement en Belgique sans interruption depuis plus de cinq ans…). Si un travailleur étranger a un permis de travail du type A, son employeur ne doit pas demander d’autorisation d’embauchage.

Les permis de travail B sont valables pour l’embauchage uniquement pour un seul employeur et ont une validité de 12 mois tout au plus. Toutes les fois qu’une autorisation d’embauchage est délivrée à un employeur, le travaileur en cause pourra automatiquement obtenir un permis de travail du type B. La demande en doit être faite par un employeur sis en Belgique.

Les coûts de subsistance

En Belgique le niveau de vie est assez haut. Voici quelques exemples de prix : xxx.

La communication en affaires

L’établissement du contact

Les poignées de main sont la forme de salut habituelle en Belgique, accompagnées d’un syntagme adéquat du type “Bonjour”. Dans les situations sociales, différentes de celles d’affaires, les femmes et les gens de l’autre sexe peuvent aussi échanger de petits baisers – en général trois fois, en commençant par la joue droite (la joue gauche du point de vue de la personne qui fait le baiser), alors que les hommes wallons peuvent aussi échanger de petits baisers entre eux s’ils sont de vieux amis. Lorsqu’ils font la connaissance de quelqu’un, les Flamands et les Belges qui parlent allemand seront ordinairement plus réservés que les Wallons. Ceux qui parlent français de la région de Bruxelles peuvent aussi être relativement officieux.

Normalement, les accueils et les réponses seront chaleureux, sans pourtant être trop intimes. Dans les rencontres d’affaires il convient que le nouveau-venu aille autour de la table et serre la main de tous les participants.

La “zone personnelle” de la plupart des Belges a tendance d’être de 50 cm. Lorsque vous voyez quelqu’un pour la première fois, prenez soin de maintenir le contact visuel pendant que vous l’écoutez. Évitez un contact visuel trop intense, pour ne pas sembler invasif.

Face à face

Certaines présentations peuvent être difficiles, car elles dépendent des circonstances spécifiques. En général, la pratique courante c’est d’être présenté par une tierce partie. Néanmoins, dans certaines situations cela ne saurait être possible. Lorsqu’on se présente soi-même il est essentiel de serrer la main fermement. Lorsqu’on serre la main d’une femme, la règle de politesse est d’attendre à ce qu’elle tende sa main et ensuite de la serrer légèrement.

Il est possible que les Belges attendent à ce que l’autre “brise la glace”. Choisissez un sujet général, évitant ceux du type langue, la politique belge ou les questions sur la vie familiale de l’autre partie. Un bon point de départ pourra être un commentaire sur la bonne qualité de la nourriture, de la bière ou du chocolat belge. Les replis, en fonction des intérêts de l’autre partie, sont le football, la musique populaire, les bandes dessinées (la Belgique a le taux le plus haut du monde en matière de dessinateurs de bandes professionnels) ou le tennis, où les Belges excellent couramment. Si vous êtes Français ou Néerlandais, évitez de faire des blagues avec des Belges.

Généralement parlant, les Belges flamands ont tendance à être un peu plus centrés sur les tâches qu’ils ont à accomplir. Cette différence a été bien exprimée par un jeune consultant flamand, qui a dit : “Quand j’envoie un e-mail à un Wallon je vais dans le sujet. Mais lorsque mon collègue wallon répond à mon e-mail, il commence par me demander comment je vais, si j’ai passé une fin de semaine agréable… et ce n’est qu’ensuite qu’il va dans le sujet. Et ça m’irrite. Et je me demande : est-ce à cause de ce que les politiciens me disent ou bien parce qu’on est différents ? Pourtant, lorsque je me rencontre avec mon ami wallon, on s’entend très bien et on s’amuse.”

Toutefois, en matière de systèmes de valeurs fondamentales, tous les Belges sont enclins à partager les mêmes priorités : le fait d’éviter les conflits, l’attachement à leurs racines, la méfiance envers les autorités (un journaliste allemand marié à une Belge flamande a conclu que “Les Belges tiennent compte des autorités, pourtant dans leur cœur ils sont des anarchistes convaincus.”) et l’appréciation adéquate des bonnes choses dans la vie.

En général, un étranger jouit d’un accueil amical, même chaleureux, de la part des Belges dans les affaires. La bonne nature pénétrante des gens est bien résumée par le journaliste néerlandais Derk-Jan Eppink qui, dans son livre Aventures belges écrit : “Après une profonde réflexion, maintenant je suis convaincu qu’un Néerlandais qui se rend à présent en Belgique pour y vivre ne sera plus jamais le même Néerlandais. Le Belgique vous réforme. La Belgique vous transforme – mais d’une façon tout à fait agréable. Qu’est-ce que la Belgique a donc changé en moi ? Tout d’abord, la Belgique m’a aidé à voir les choses telles qu’elles sont, à voir qu’il n’y a pas une seule vérité universelle, mais toute une gamme de vérités différentes, à comprendre que personne n’a raison toutes les fois, mais que beaucoup de gens ont parfois raison un petit peu.”

L’étiquette en affaires – Les rencontres d’affaires

Les rencontres sont une caractéristique normale de la scène d’affaires belge, soit face à face, soit, vu la prédominance des activités internationales et l’apparition d’équipes virtuelles, dans les réseaux Télécom/Internet. La nature et le contenu des rencontres diffèrent, mais elles sont une partie tout à fait courante de la vie des organisations.

Les rencontres sont de plus en plus axées sur les équipes, avec ou sans la participation de la direction supérieure. Il se peut que les séances des équipes qui s’occupent des projets soient planifiées à court terme et qu’elles continuent souvent plus longtemps que les participants ne le veulent. Il vaudra bien faire des planifications à l’avance lorsqu’on organise des rencontres avec les directeurs exécutifs, car leurs programmes sont en général tout pleins pour longtemps.

Si vous avez l’intention de rendre une visite aux fins de ventes, pour proposer un produit ou un service que vous représentez, prenez soin de faire des arrangements bien en avance. Il se pourra que vous puissiez avoir une rencontre au déjeuner, surtout si vous arrivez et partez le même jour. La formule classique est de rencontrer l’acheteur principal, parce que la prise d’un long déjeuner avec le directeur général, qui est pratiquée encore en France, est en train de s’éteindre.

Si l’on a planifié des présentations officielles, l’endroit pour les rencontres et tous équipements nécessaires (par ex. PowerPoint ou un rétroprojecteur) doivent être préparés à l’avance. Planifiez-vous de respecter les délais, même si la rencontre se prolonge, et essayez de l’achever par une conclusion ferme. Ultérieurement vous pourrez dresser un procès-verbal ou un protocole d’entente.

À l’heure d’aujourd’hui les conférences en ligne, les conférences vidéo et les conférences téléphoniques sont quelque chose d’habituel. En général, les directeurs belges préfèrent les contacts face à face, mais ils s’adaptent vite aux nouvelles technologies.

L’attitude envers les rencontres d’affaires

En Belgique la pratique courante, c’est de prendre rendez-vous quelques jours auparavant ; une fois que les date et heure ont été convenues il n’est plus nécessaire de les vérifier ou de les confirmer. Si ultérieurement il arrive des conflits de priorités, il vaudra expliquer la situation au partenaire belge, qui va assurément la comprendre et procédera à une organisation alternative.

L’heure la plus adéquate pour une rencontre d’affaires est peut-être 10h00. Si les pourparlers ont été fructueux, ils se continueront par un déjeuner, où l’on continuera de discuter affaires ou bien on s’entretiendra tout simplement, ce qui forgera le sentiment de confiance, qui est si important pour les Belges.

Si vous avez un certain produit ou une proposition concrète à offrir, donnez à tout prix à l’avance des détails de soutien (sauf le prix). De plus, l’Internet devra présenter des informations sur votre entreprise.

Les négociations

Étant donné leur longue expérience en importations et exportations, les Belges sont des négocia-teurs à la fois adroits et compréhensifs. Ils ont une approche flexible pour faire des transactions réciproquement avantageuses, d’où la réputation des compromis traditionnels belges. Même si cela n’est pas la solution idéale, tout le monde en sort avec ses réputation et fierté intactes.

La manière de négocier des Belges, à la fois Flamands et Wallons, est opposée à celle des Néer-landais. Leur style n’est pas de se cramponner aux questions de principe, quoiqu’ils aient leur propres principes ; leur approche est plus explicative, centrée sur les relations et flexible. Eux, ils savent écouter, mais cela ne signifie pas automatiquement qu’ils soient d’accord avec vous.

Si les Néerlandais insistent, le long des projets, à respecter la spécification originaire dans les plus fins détails, les Belges feront des compromis de manière intelligente, afin d’éliminer un problème.

Les styles des négociations ne diffèrent pas beaucoup entre les diverses communautés. Les Flamands sont un peu plus directs et incisifs que les Wallons, qui sont enclins à être plus axés sur les relations, tandis que la catégorie plus ancienne de gens d’affaires de Bruxelles qui parlent français (à ne pas la confondre avec les Wallons) est assez formelle. Les hommes et les femmes sont traités comme des égaux, ainsi que les représentants des minorités ethniques.

L’attitude générale des Belges envers les négociations est exploratoire et au début sans titre d’engagement, employant l’approche par laquelle on résout les problèmes et essayant de construire des ponts entre les intérêts divergents. Vos homologues seront réceptifs à vos idées, à condition qu’elles aient au fond du sens.

Le désir d’en arriver à un accord qui contente les deux parties stimule les Belges à venir avec des idées créatives non conventionnelles, mais qui atteignent à leur but. Prenez des mesures d’allouer du temps pour cela. Une faute grave que certains gens commettent est de commencer la séance avec des mots tels que : “Il faut que nous tranchions cela jusqu’à cinq heures, car je dois prendre mon avion …”.

Ce serait logique d’envoyer l’un de vos directeurs exécutifs aux négociations, bien que la Belgique évolue rapidement de la culture soi-disante “de nomination” à une autre basée sur les accomplissements. Plus on approche les technologies de pointe, plus jeunes tendent être les directeurs.

Normalement, les négociations sont portées en anglais. Tout au plus, il se pourrait que vous ayiez besoin de la présence d’un interprète pour le français.

Les horaires de travail

La semaine de travail classique de cinq jours, entre 8h30 et 17h30 (parfois 9h00 – 18h00), avec une heure de libre pour le déjeuner, est valable en général dans la plupart des entreprises belges. Ce ne sont que les chefs des départements confrontés à une situation de crise qui sont amenés parfois à travailler plus longtemps, peut-être en compensation du temps de libre ultérieur. D’habitude tous les niveaux, excepté, probablement, la direction supérieure, respectent les horaires de travail traditionnels ; il se peut quand même que la direction choisisse de venir au travail plus tard que le personnel administratif. Cela a peut-être rapport à l’idée d’équilibrer le travail de ces derniers à leur vie familiale : en retournant chez eux autour de 17h00, ils ne sont pas affectés par les heures de pointe et ont du temps pour leur famille et pour les loisirs. Il est possible que les directeurs emportent du travail à la maison.

Les bureaux gouvernementaux et ceux de l’administration locale sont en général ouverts pour le public à partir de 8h30 à 13h00. La majorité des grands magasins sont ouverts entre 9h00 et 18h00. Dans le cas des petits magasins, les horaires d’ouverture sont très irréguliers, pourtant ils sont limités à un nombre maximal d’heures par semaine : les petits magasins sont fermés un jour par semaine, mais pas nécessairement le dimanche. Les banques, elles, sont ordinairement ouvertes entre 9h00 et 16h30 de lundi à vendredi.

Le gouvernement belge a adopté la Directive de l’UE relative aux horaires de travail, qui limite les gens à travailler 48 heures tout au plus par semaine.

L’utilisation des médias de socialisation spécifiques au pays

Les particuliers

Conformément à Internet World Stats (xxx), plus de 80 % de la population belge utilise l’Internet et presque tout le monde (plus de 90 %) emploie une sorte de réseau de socialisation. Leur utilisation s’est amplifiée consedérablement en Belgique ces dernières années et les Belges sont toujours plus actifs dans leurs démarches sur ces réseaux. Les nouvelles technologies mobiles, telles que les portables intelligents et les petits ordinateurs portables, soutiennent la distribution rapide des médias de socialisation parmi la population.

Avec plus d’un million de profils en Belgique, Linked est le site Internet de socialisation qui s’y développe le plus vite. Néanmoins, vu ses plus de 4,5 millions d’utilisateurs belges, Facebook est le réseau social le plus utilisé. Un autre réseau de socialisation employé largement est Netlog, qui a plus d’un million d’utilisateurs. Les plate-formes utilisées le plus souvent en Belgique sont :

  • Facebook
  • Linkedin
  • Netlog
  • Twitter
  • Myspace

Les PME

En Belgique l’emploi des réseaux de socialisation est relativement répandu. Plus de 70% d’affaires belges se sont créé un profil sur au moins une plate-forme d’un réseau de socialisation. Pourtant, ce ne sont que les directeurs de communication de l’organisation qui ont le plus souvent de l’accès total aux médias sociaux, leur utilisation par la plupart des employés étant interdite pendant les horaires de travail. Bien que beaucoup d’entreprises utilisent les réseaux de socialisation, moins d’une sur trois ont des indications ou une stratégie sur la façon dont ceux-ci peuvent aider leurs activités. Les plate-formes des réseaux de socialisation peuvent être utilisées comme des outils précieux, par ex. pour l’acquisition des clients ou pour des campagnes de marketing. Toutefois, ce n’est qu’une moitié des entreprises belges qui pensent actuellement à planifier et à mettre en œuvre des indications ou une stratégie pour les réseaux de socialisation afin d’exploiter au maximum leur potentiel. On s’attend à ce que la plus jeune génération (la génération y) ait déjà et contribue dans l’entreprise avec toutes ses aptitudes nécessaires pour exploiter au maximum les médias sociaux.