L’Allemagne (Germany)

L’Allemagne Germany-flag-240L’étiquette en affaires – Attitudes et valeurs

Les Allemands sont jugés être maîtres des planifications de beaucoup de points de vue. Le processus de réfléchissement allemand est extrêmement profond, chaque aspect d’un projet étant analysé dans les plus fins détails. Les planifications minutieuses, tant dans les affaires que dans leur vie privée, garantisent de la sûreté.

L’attitude envers les étrangers

Les Allemands non ethniques représentent à l’heure actuelle approximativement dix pour cent de la population allemande, la plupart en étant des descendants des travailleurs venus là-bas dans les années ’60 et ‘70. En grandes lignes, un sur cinq étrangers qui vivent en Allemagne est né à l’étranger, s’agissant maintenant de la deuxième ou troisième génération d’immigrants, et un tiers des citoyens turcs, italiens et grecs qui vivent en Allemagne sont nés ici.

Qui plus est, un nombre considérable de citoyens allemands, bien que traditionnellement pris comme des Allemands ethniques, sont en fait nés à l’étranger, gardant leur identité culturelle et la langue de leur pays natals, au sus d’être Allemands, ce qui les met en évidence par rapport à ceux nés et élevés en Allemagne.

En Allemagne il y a quatre minorités nationales : la minorité danoise, la minorité ethnique friésienne, les Sinti et les Manouches allemands et les Sorbes. Tous les quatre groupes entrent dans l’aire de la Convention-cadre pour la protection des minorités nationales, que l’Allemagne a ratifiée en 1997. Les langues des minorités – le danois, le friésien du Nord et Sater, le romani et le sorbien inférieur et supérieur – sont promues en application de la Charte européenne pour les langues régionales et minoritaires, que l’Allemagne a ratifiée en 1998. Toutes les quatre minorités nationales jouissent d’une vie culturelle riche, qui est soutenue financièrement par les gouverne-ments fédéral et étatique.

L’intégration est un processus à la longue, visant à garantir que tous les résidents légaux et permanents sont inclus dans la société allemande. Les immigrants sont encouragés à prendre part dans toutes les aires de la société le plus complètement et également que possible et on leur exige d’apprendre l’allemand, de connaître la constitution et la législation allemandes, de les respecter et d’en agir en conséquence. Les gouvernements fédéral, étatique et local ont ensemble la responsabilité d’y veiller, bien que tout le monde sache que l’intégration requiert aussi des efforts majeurs de la part de la société.

L’enseignement, la formation et l’insertion

L’enseignement général

L’Allemagne a l’un des niveaux d’enseignement les plus avancés du monde et bien des universités fameuses. Mais ces dernières ne sont pas si fréquentées que celles de beaucoup d’autres nations européennes. L’Allemagne n’admet pas la scolarisation à domicile, quoiqu’elle soit pratiquée par un certain nombre de gens et que le gouvernement mène une campagne d’interdiction de cette pratique.

Les idéaux éducationnels allemands diffèrent considérablement des philosophies éducationnelles d’autres pays. L’accent est mis sur la socialisation, les débats, la participation vocale pendant les classes et les aptitudes critiques. Grâce à “mittlere Reife” après la deuxième classe de lycée (d’habitude à l’âge de 16 ans), les élèves allemands peuvent aussi commencer leur études industrielles au lieu de choisir de continuer avec la 3ème et la 4ème classes. Ces études professionnelles sont appelées le Système d’enseignement double et consistent en des études à une entreprise et en la poursuite d’une école professionnelle. Pendant trois ans on est apprenti au sein de l’entreprise, où l’on vous enseigne les côtés pratiques de la fiche d’emploi, alors que les aspects théoriques sont enseignés en principal aux écoles professionnelles. Après trois ans il faut subir des examens à la Chambre de Commerce et d’Industrie, à la suite desquels normalement on s’attend à ce que les entreprises embauchent leurs anciens apprentis ou au moins une partie d’eux, vu que les frais incombés par leur formation ont été considérables. Toutefois, malheureusement, à cause des subventions accordées aux entreprises qui prennent part au système d’enseignement double, certaines en ont commencé à former des apprentis pendant trois ans et ensuite ont remplacé ceux-ci par de nouveaux apprentis qui leur apportent de nouvelles subventions.

Pour ce qui est du travail qualifié, les entreprises allemandes s’attendent à ce que les universités allemandes complètent les études de leurs possibles employés. La formation en vue d’un emploi est soit quelque chose d’inhabituel, soit tout simplement une activité introductive pour les étudiants, parce que les entreprises exigent du système d’enseignementt des employés prêts à travailler. Les offres d’emploi courantes requièrent 2+ ans d’expérience de travail, un profil d’âge jeune et des compétences plus que moyennes.

La plupart des universités allemandes sont d’État et alors presque gratuites : il ne faut payer qu’une taxe d’étudiant d’environ 100-300 € par semestre (6 mois). De plus, les étudiants y sont soutenus par ce qu’on appelle “BAföG” (qui dépend du revenu des parents), qu’est une subvention fédérale à hauteur de 290 € par mois tout au plus comme crédit sans intérêt plus 290 € en paiement direct.

En Allemagne il y a plusieurs diplômes universitaires. De façon traditionnelle, le diplôme le plus bas a été le Magister (en Arts) et le Diplom (en Science et Ingénierie). Ces dernières quelques années, les diplômes traditionnels sont en train d’être remplacés par ceux standard européens : le Diplôme de Licence/Maîtrise et le Diplôme de Master. Un étudiant ayant obtenu un Diplom (universitaire), un Magister ou un Diplôme de Master peut s’inscrire au doctorat. Parfois incorrectement regardé comme diplôme universitaire, l’Habilitation est le titre universitaire le plus haut en Allemagne.

L’insertion des étudiants

Les Allemands ont leur première courte expérience d’insertion pendant l’école, parce que la majorité d’eux parcourent une période de 2-4 semaines, qui est obligatoire entre la pénultième classe de collège et la deuxième classe de lycée. Pourtant, surtout pendant les études, le but des insertions est d’apprendre ce que signifie une pratique. En fonction de l’endroit et de quoi on étudie, les placements peuvent être une partie obligatoire du cours d’études. Même s’il y a des élèves qui se rendent à l’étranger pour un stage, la plupart effectuent leur placement en Allemagne. Être inséré plus d’une fois n’est pas inhabituel.

Pour l’obtention d’un placement en Allemagne, le processus est similaire que la requête pour un emploi normal, ce qui signifie qu’il faut être muni d’un CV et d’une lettre d’inscription. À l’heure d’aujourd’hui, la majorité des requêtes peuvent être complétées sur Internet (sur les sites ou par e-mail). Un aspect qu’il faut mentionner dans sa requête est si pendant le stage on continuera d’être inscrit comme élève, chose importante pour les impôts et les frais sociaux.

Les deux moyens les plus courants de trouver des possibilités de placement sont les liens privés et les sites Internet. Notamment les entreprises plus grandes publient leurs opportunités de placement sur leurs sites à eux ou sur les portaux de placement (voir les liens ci-après). La requête doit être soumise 3-5 mois à l’avance si l’on vient d’un pays étranger, afin d’avoir du temps pour organiser les choses du type logement. En général, on reçoit une réponse à la requête même si la fonction visée n’a pas été obtenue.

Le salaire

Les stages peuvent être payés ou non, mais il n’y a pas de salaire général auquel s’attendre. Il est habituel que dans le cadre des plecements pour étudiants on paie une certaine somme qui recouvre les coûts de la vie, mais cela n’est aucunement le cas dans tous les domaines. Si l’on n’a pas fourni d’indications sur l’offre en soi, il faudra en demander dans la lettre d’inscription. Le montant d’argent ne sera pas précisé pour la plupart des cas, mais il faudra y avoir une mention sur la possibilité d’être payé ou non pendant l’insertion.

Le logement

Le plus souvent, dans le cas d’un placement en Allemagne on doit trouver tout seul du logement. Il est possible de trouver des chambres meublées, mais il n’y a pas d’informations générales qui puissent être fournies ici, care tout dépend de la ville où l’on effectue son stage. Le loyer, on le paie normalement chaque mois et au début de la période de louage il faut payer une garantie.

Les visas

En fonction du pays dont on vient, il se peut qu’on ait besoin d’un visa pour pouvoir travailler en Allemagne. Sur la page suivante il y a une liste de tous les pays, accompagnée de l’indication s’il y faut du visa ou non :

Les coûts de subsistance et de la vie

D’habitude, un étudiant devrait être à même de recouvrir tout seul ses coûts de subsistance. À la différence d’autres pays européens, l’Allemagne n’est pas extrêmement chère. Par rapport aux pays scandinaves, on pourrait même dire que le coût de la vie est réduit. Néanmoins, comme partout, le coût de subsistance dépend de qu’on fait et de l’endroit où l’on vit en Allemagne. La dépense la plus grande est d’habitude le loyer, qui peut en arriver à 250-350 € par mois pour une seule chambre. Il faut également prévoir 150-250 € de plus pour la nourriture.

Quelques exemples de prix moyens peuvent être consultés ici xx et ici xx

La communication en affaires

L’établissement du contact

Les Allemands sont en général conservatifs du point de vue des gestes physiques. À la différence de la France, un homme ne baise jamais un autre homme et les manifestations publiques d’affection ne sont pas courantes, d’autant moins dans le milieu d’affaires. Les gestes publics d’affection ont la tendance d’être réservés envers les membres de la famille proches et les amis. D’ordinaire, les Allemands sourient aux étrangers (dans les magasins, par exemple) afin d’être polis, mais il ne faut pas être offensés s’ils ne le font pas, car ce n’est qu’une partie de leur culture en général réservée.

Les Allemands apprécient et gardent autour d’eux un espace personnel plus généreux que les habitants d’autres pays européens ne le font. Il n’est pas inhabituel quand même que lorsqu’ils attendent à la queue pour payer dans un magasin, ils se tiennent très proche de la personne devant eux.

Les courtoisies du type poignées de main, ainsi que la politesse, font énormément, créant une bonne image aux yeux de votre homologue allemand. Dans les situations d’affaires serrez la main tant au début qu’à la fin d’une rencontre. Il y a des gens qui ont travaillé ensemble pendant des années et qui se serrent encore la main chaque matin, comme s’ils se voyaient pour la première fois. De plus, il se peut qu’une poignée de main soit accompagnée d’une légére inclination. L’inclination réciproque de la tête est une bonne méthode de faire une bonne impression, car tout défaut de répondre par une telle inclination (notamment à un supérieur) pourrait vous assurer un mauvais démarrage. Prenez soin de regarder directement aux yeux de la personne concernée pendant les poignées de main. Lorsqu’on est introduit à une femme, attendez voir si elle tend la main.

Vu que les gens d’affaires ont la tendance d’être officieux et conservatifs, les relations d’affaires sont formelles, ordonnées et professionnelles. Tenez compte de la hiérarchie et adressez toujours votre message à la personne appropriée de l’organisation.

Face à face

La toute première impression est très importante pour les Allemands, avec un impact sur le résultat de vos relations d’affaires avec votre homologue allemand. Essayez donc de prendre en compte les choses suivantes lorsqu’on fait des affaires avec un Allemand:

La communication non verbale

  • Entre les personnes engagées dans une conversation on garde une distance généreuse : on s’attend ordinairement à au moins une longueur de bras.
  • On s’attend aussi à du contact visuel, ce qu’on respecte. Un contact visuel non interrompu peut sembler bizarre pour ceux qui ne sont pas habitués à une telle étiquette ; pourtant, le contact visuel dénote de l’attention et de l’intérêt dans une conversation. En Allemagne, le fait d’éviter le contact visuel pourait être interprété comme une transmission du message inverse.
  • Le doigt majeur tendu est un geste obscène, comme l’est également l’index positionné vers sa temple, surtout lorsqu’on conduit un véhicule.
  • La conduite des Allemands en public est en général réservée et formelle, c’est pourquoi faire signes de la main et crier après quelqu’un qui se trouve à distance sont à même d’attirer de l’attention négative.
  • Les Allemands aiment la tranquillité et l’intimité. Ainsi, il est possible qu’ils ferment leur porte souvent, mais ils seront joyeux de vous accueillir si l’on frappe à leur porte. Une porte fermée ne signifie pas nécessairement que la personne en cause ne veut pas être dérangée.
  • Dans les contextes des rencontres on échange d’habitude des cartes de visite, qui ne doivent pas obligatoirement être imprimées en allemand. Il est recommandable d’avoir une bonne provision de cartes sur soi. Tout titre supérieur au niveau de licence/maîtrise doit être mentionné sur la carte.
  • Les Allemands montrent leur appréciation envers une présentation à la fin de la rencontre d’affaires en tappant les doigts sur la table.

La communication verbale

  • Ne passez pas de coups de fil après 10 heures du soir si l’on n’a pas demandé au préalable si ce serait convenable de le faire.
  • Ne vous attendez plus à voir quelqu’un au boulot après 17h00 de lundi à jeudi et après 16h00 les vendredis.
  • Lorsqu’on répond au téléphone en Allemagne, la pratique courante c’est de vous identifier à votre nom de famille.
  • La Deuxième Guerre Mondiale et l’Holocauste sont des sujets incommodes pour certains Allemands, notament pour les vieilles gens. S’il apparaît de tels sujets dans les conversations, tentez d’en parler avec sensibilité et/ou neutralité si vous ne voulez pas offenser. La chose prudente serait d’éviter l’initiation d’une telle discussion si l’on n’est pas sûr que l’entreprise concernée soit permissive là-dessus.
  • Dans les conversations générales, les Allemands sont très directs et emploient souvent uniquement quelques phrases polies et bavardes. D’ordinaire, ils vont dans le sujet assez vite et s’attendent à avoir des résultats à la fin d’une rencontre.

L’étiquette en affaires – Les rencontres d’affaires

L’attitude envers les rencontres d’affaires

Les rencontres sont prises bien au sérieux en Allemagne et on peut y entrer dans pas mal de détails. Les rencontres d’affaires suivent une procédure officielle. Les directeurs allemands travaillent selon d’ordres du jour précis et détaillés, qui sont d’habitude respectés scrupuleu-sement ; en outre, le but de presque toutes les rencontres est d’obtenir des résultats décisifs et non pas de donner naissance à un forum pour des discussions générales ouvertes. À cause du caractère officieux des rencontres, pour un étranger il pourra être difficile d’apprécier le déroulement des choses, mais un long examen d’une proposition indiquera des intentions sérieuses.

Pendant les transactions d’affaires allemandes il est important de venir avec des faits et des exemples solides pour soutenir ses propositions, étant donné la préférence des Allemands pour la pensée analytique et les explications rationnelles. N’utilisez pas des manières de communications exagérées ou indirectes durant les rencontres d’affaires avec vos homologues allemands, car celles-ci seront regardées avec défiance. La culture d’affaires allemande a une hiérarchie bien définie et respectée strictement, avec des tâches et des distinctions claires entre les rôles et les départements. En Allemagne, dans le cas des rencontres d’affaires officielles il sied que la personne ayant le grade le plus haut entre la première dans la chambre, mais dans les situations d’affaires moins officielles, cela n’a pas trop d’importance. En Allemagne les contacts sont vitaux pour le succès en affaires : faites appel à une banque, à un représentant allemand ou à la Chambre de Commerce et d’Industrie le plus que possible.

Les négociations

Lorsqu’on entre dans des négociations d’affaires avec des gens d’affaires allemands il y a toute une série d’aspects dont il faut tenir compte à l’effet d’assurer un résultat positif des négociations:

  • Les Allemands sont concurrentiels, ambitieux et des négociateurs féroces.
  • Dans les affaires allemandes, la parole donnée et les poignées de main sont considérées comme des engagements. Si l’on en arrive à un accord verbal durant une rencontre, en général il sera jugé avoir la force d’obligativité.
  • Les négociations d’affaires ont la tendance d’être analytiques et centrées sur les faits. On y préfère d’habitude une prise de parole bien documentée, avec un tas de graphiques, d’arguments empiriques et de statistiques et les approches directes, centrées sur les faits, seront appréciées le plus.
  • Les affaires sont hiérarchiques. Les décisions sont prises aux niveaux les plus élevés de l’entreprise, c’est-à-dire de haut en bas. Il ne sied pas d’éviter un associé à fonction égale en se consultant avec son supérieur, même si l’on met beaucoup de temps pour les négociations.
  • La prise des décisions est souvent un processus lent et détaillé. Ne vous attendez pas à des conclusions significatives basées sur des résultats spontanés ou non structurés.
  • Il faut être patient et ne pas sembler froissé ou irrité à cause du respect stricte du protocole. Les Allemands sont enclins aux détails et veulent comprendre toutes les allusions avant de conclure un accord.
  • Les Allemands ont une aversion contre les opinions divergentes, mais ils négocieront et débateront les aspects avec ferveur.
  • Les décisions sont souvent débattues de façon informelle et sont prises en général avant les rencontres, où l’on s’y conforme plutôt qu’on n’en arrive à un consensus.
  • Une fois une décision prise, elle ne changera pas.

Une attention aux détails ne passera pas non remarquée par les homologues allemands et soulignera le désir véritable et l’enthousiasme de faire des affaires avec eux.

Les horaires de travail

En Allemagne on ne permet pas que les horaires pour les affaires et les magasins soient aussi longs qu’on le souhaite : il y a des règles strictes pour les heures d’ouverture et de fermeture. La loi fédérale allemande, “Ladenschlussgesetz”, conjointement avec les règlements individuels de différents lands contrôlent les heures d’ouverture. Ainsi, les supermarchés, par exemple, ferment à 22h00 au plus tard et ouvrent avant 9h00 ou 10h00. Les dimanches presque tout est fermé, sauf les boulangeries et les stations-service.

L’utilisation des médias sociaux spécifiques au pays

Les individuels

Plus de 75 % de tous les Allemands (âgés de plus de 14 ans) utilisent l’Internet de quelque façon. Sur ce groupe, plus de 75 % sont inscrits à au moins un réseau de socialisation et passent environ un quart de leur temps en ligne sur ces réseaux. Pour la plupart des gens, surtout les jeunes, à l’heure actuelle l’Internet est le synonyme des réseaux de socialisation, plus de 90 % des gens à l’âge compris entre 14 et 29 ans y étant inscrits. Les réseaux les plus populaires, énumérés en fonction du nombre de leurs utilisateurs, sont:

  • Facebook (plus de 20 millions d’utilisateurs allemands au mois de juillet 2012)
  • Google+
  • Xing
  • Wer-kennt-wen
  • MeinVZ/StudyVZ
  • LinkedIn
  • MySpace
  • Lokalisten

Les raisons pour l’utilisation des réseaux de socialisation varient : de la communication avec les copains/amis et de la possibilité de prendre contact avec d’anciens ou de possibles nouveaux copains/amis à de l’intérêt en ce que les autres font et à se rappeler les anniversaires.

Parmi d’autres médias sociaux employés par les Allemands il y a Twitter, YouTube, Wikis et les blogs.

L’image ci-dessous présente la prisme 4.0 des médias de socialisation pour les Allemands, donnant une idée de l’ampleur des médias de socialisation.

Les PME

L’utilisation des médias de socialisation dans les affaires allemandes s’accroît de plus en plus, la majorité des entreprises commençant à en comprendre l’importance. Plus exactement, la conscience du fait que les réactions négatives de la part des clients téléchargées sur Internet sont à même d’affecter une affaire est une impulsion pour l’utilisation des médias de socialisation. D’une étude récente effectuée par BITKOM en 2012 il s’ensuit qu’en Allemagne pour presqu’une moitié de toutes les affaires on emploie en quelques sorte les médias de socialisation et que pour d’autres 15 % on a l’intention de les utiliser. On ne saurait discerner une différence entre la vitesse de leur emploi entre les petites et moyennes entreprises et les plus grandes. Il y a quand même des différences dans la distribution entre les secteurs. Si plus d’une moitié des opérateurs impliqués dans le secteur en détail utilisent les médias de socialisation, uniquement 1/3 les emploient dans les domaines manufacturier et des constructions, chose explicable par la proximité du secteur de services au consommateur / au client.

Le moteur qui influe le plus sur l’utilisation des médias de socialisation peut être constaté dans les domaines où la communication externe en affaires est importante : le marketing, les relations publiques ou la publicité. Les objectifs de l’emploi des MS peuvent varier grandement:

  • l’augmentation de la notoriété de l’entreprise / de la marque commerciale
  • l’acquisition de nouveaux clients
  • la création de relations avec les clients
  • l’optimisation du moteur de recherche
  • le contrôle de l’image de l’entreprise
  • les études et la surveillance du marché
  • l’acquisition de nouveaux employés
  • la collaboration avec les clients à l’effet d’élargir le porte-feuille des produits

Ces objectifs différents sont atteints par l’utilisation d’une gamme large de diverses formes de médias de socialisation pour des buts différents. Par exemple, 86 % de toutes les entreprises qui utilisent les médias de socialisation (les réseaux de socialisation, tels que Facebook et Xing, en étant utilisés le plus) le font en moyen de représentation de leur activité. Les plate-formes vidéo telles que YouTube sont employées par moins de 30 % et Wikis par moins de 15 % des entreprises. Parmi les autres applications utilisées il y a les blogs corporatistes et les micro-blogs du type Twitter. En Allemagne, Facebook, Xing, Twitter, YouTube, Blogs, LinkedIn et Google + (énumérés selon la fréquence d’utilisation) sont les instruments des médias de socialisation employés le plus couramment pour les activités.

On estime que le budget qui sera investi dans l’avenir dans les campagnes des médias de socialisation accroîtra. Bien que la majorité des entreprises n’aient pas l’intention d’investir dans l’instruction des employés du point de vue de l’utilisation des MS, de plus en plus d’elles ont du personnel spécialisé qui travaille exclusivement au profil de l’entreprise sur les médias de socialisation. Pourtant, cela diffère considérablement, en fonction du nombre d’employés. Si la plupart des grandes entreprises ont des salariés ayant la tâche de surveiller les MS, ce type d’employés se trouvent dans moins de 50 % des PME ; même si elles en ont, leur nombre est souvent limité à une ou deux personnes. L’insuffisance des ressources en matière de personnel et de temps est la difficulté indiquée le plus souvent lors de l’utilisation des médias de socialisation. Plus encore, les aspects ci-après peuvent être identifiés comme des problèmes qui apparaissent en vertu de l’utilisation des MS:

  • les difficultés dans le mesurage des objectifs
  • l’identification des outils de surveillance effectifs
  • le repérage des endroits où être actif et des personnes avec qui maintenir le contact
  • la coordination des activités liées aux MS
  • la compréhension limitée de la façon dont les MS sont à même de soutenir les activités

Néanmois, ceux-ci ne sont pas les arguments que les entreprises utilisent lorsqu’elles expliquent pourquoi elles n’utilisent pas du tout les médias de socialisation, les deux aspects invoqués le plus souvent étant le fait qu’elles n’arriveront pas ainsi à leurs clients visés et les incertitudes juridiques liées à l’emploi des MS.

C’est surtout au niveau des PME qu’on constate l’absence totale d’indications pour les médias de socialisation, aussi une liste utile d’indications pour le personnel aux fins d’utilisation de ces médias peut-elle être consultée sur.